______"RAW"___________________________________JEROME BERTIN

 

 

 

(’)he(u)r’, c(l)och-att’ (r)A. P i-z-ag’, no(u)x al - ba-V’-nus, ce qui c, (h)oule é-p(a)iS’ til(t) sal’(é)op-en joue devant l’as-s-a(u)t-ur’, se dé, tend son d(uv)e-t-end sa gl/(H)oT’ pour-p/b r’un’ i. e/t : éc(ar)lat’ sous la langliss-e-hi-ss’-eue pivo(i) n/t’, se to-r(i)d’ mot’-her ’’, cr(u)e-ch’. a(u)/d’/N, open, les hosti-liT’y èr’, tièd’her, sa b(o)ue, Ô (K)liss’, î(n)-con’, tor(d)-s(i)oN’ con v/p ulS-a(k)t° du ciel, sous son V-entr’, ciel & terr’ aS, le-che-m-(s’)in’, sinu-e(u)X p(i)r’i-s-on con dilaT(r) in’ s a/u crê(m)e’ sou-il-l- ’a’ So(i)F’ (r’), per-ver-S’ (t)a piss’, (sur) la gueul’ de l’en-faent’ creusée dansl’i-v(o)ir’-g(e)ul’offert’-il(l)’-iz’&, par cette f(r)-ang’&liQ-id ô(u’), l’her, (&)co(r’)ch(i)ée par les qu-eu’s, diGraies-terre, coul’ h-e(r) t(H)er’, ds la. gorG’ d’acidulait de m-a-man’ t’/d ibul’ du so-l-’(o)eil plein de cor-p(o)s’, comm’ 1 ciel r-o(u)-X id’ de l’azuriné, p-(H)issé’ ds l’, oS atur’ du b-l(e)u str’ l’anusé par la cr, avach(i)e’, elle-s’-e goût’, mére et f-ill’ naiss’, ds ces coups, b(r)u’s, Qv’, innondées, détrempées,.rompues, pressées comme deux dards raides ready to toast, cuire l’astre, traire le triangle de l’ange à ge nou x/e sa bouch’ la bouc h/l’!, (la ’’) B-a/ou il-l(i)onn’, Ô té-t e/o n’ d, re-C’ to, vers o/é-s-ur la l’ang’(l)oû, t-i-t’ de ch-a(u)X’, minu-(o)scul(t)ê’t’, la m-R’a-F(l)e(u), le chaudrong’, mor-deal(l’) d’L, X, i-r affl’, de la grarsev’, son O pe(n)pit’ (em)pâl’p(’t)it’ pute tendre draine, la gangrène, graine de gâle, ou reine.d’urine, ruine d’aube obéissante béante béate atone trône, sur la langue comme un crachat, chienne chatte.attisant le sang sans pudeur aucune, cul.dilaté, l’autre téte la terre de son ventre entre ses fesses presse le vin du festin,.tétine tiède ce trou trousse jusqu’à la mousse, use sa bave dans l’anus,.l’anneau novice lisse, l’ass se plisse sous l’assaut sauvage, les salves de langues,.longues du massage ou s’embrassent, s’embrasent, la bouche et l’ass, la ga-mi-nett-o i.e : vid’ange, la bouch’ r-apa c/t e sa pro i.e la f-gam(in)e open, le j(e)u’t
-e(u)x, ampl ’ d’a-st(r)e(m)P
Ô cre(ux) de la v(i)and’al’anG-lu’ de mo(r)ve a-round (1)o v/p en sk-y boit son ventrie, comme un, butin(e) le pôL’n/fon-du ven-tr’aqué(uX) l’a(s)tr’ess’ pourpro i.e : prise di-rect’aL’iag’ de terre & d’ea(u-)ch (h)ot-her, strug-gl’iss’, mord(ill’), l’a-mèr’, foll’ à-(l)lier de cett’ moit-her, sa brumin’, bouill-on(e)-du(le)-ne, p-(â)L’-ongée, s(o)uS’ la mèr’. bâ(s)-tard’, à Dchi(f)rai’, affa m/L’ope-n(o)uRi’-ra de gifflag-elle-ra ture, l’(t)rai’, infi(r)m’ san-s-a langu’, l’invo-Q’, la p(r)ie uv-r’âle, bav’alerai 1 che-va(l) ium, sa bouch’, quand elle ar-ri v/, M’ord à(t) l’asti-K.O’ cr’euX, du tem-(D)pl ié, con-tor(d)-s(i)onn’ l’as-s(a)ut ur’ de sal(i)v’ bouill-a(n)t’, ell’ râ-l’-ong(l)e la c-huT’, ce cul/con v-u(l)sé, M-at(r)is’, la, chi(enn’ m)èr par le con, tout l’azuriné, « bouffeu, mon volcanin  sau-vag(u’) b-la (n)ch’ iK, garg-ariz’ toi de ma , mo(u/-i)ll’ », offertill’, de sa v-ou r/t’ off sk, y bois son, à vers’ le b(le)u’, son héma, tom’ B’, entr’ ses, fess’ ée, s’éver’, tue à v-iv(r’), ent’-r’ ses fess’, toi z/e la f-’os’, terr’ (i)m’oL, al-lu m’o L’ard(ent’), d’1 mo(t) L (H)ard’, sa grarce, « putain !», la ch-os’cul-t’, l’î-con’, a(i)g-r’iP’ la voi’, X, la(c)-T-ri(n’), bordur’, son our-l(a)it de ’’, déterre le ciel exit la cellule cele le gris.là sous sa langue englouttit le triangle.l’outil de l’ out bien lotie dans l’autre sa fille ill enragée râle, déja jappe,.à peine effleurée se répend tend.sa raie son rayon sonne le glas des glaces d’avant.s’éventre montre.son antre l’autre autel de son eau bée bénite baigne la bouche saigne cent soleils.pisseux sous l’oeil saillant à point saignant le pieu ôcre l’étendard darde pourpre poulpe.pulpeux peau vive ivre sous sa lèvre lévite plane plante ses dent dans.le gras de la fente frange frôle le troisième têton tendre tendu.étrangle l’angle mort de sa gorge le saoule soulève de la sève suave,.salée la salope suinte souille de ciel mouille la soif fosse ceusée dans la viande.lande adipeuse épaisse épice l’ass comme un piment pente forte escorte l’azur jusqu’à la merde. mord- L’a mèr’ plante ses c(r)oK’ la p/f en-t’R, s-on c/d ul’ sous sa l’ang(u)’ t-a(n)gu’ ich’ le D-mo(n)T’ molle de (à) l’a mèr’(-ci) d’L la mè(r’)-l’ang’ au s o/a l ino g(r)as pill’ le coffr’i(t), le con K v’ al’ (p)lume le d(o)u’ve(t), nu’ au goût de lai-t-on c u(l)!/a v’ iand’ C-le st/br’ iz’, la gla-ce-t-air-pu-a(n/l)t itude du gouf-fr’ (u)iT, rat° d’ M-v(en)t’ou z/ver-t ig’ de P-l’astiK, oui la bra nl/v e(i) nin perS-&cu t/v’ le m/c i.e : L’em, B(r)O ch’ a vir’ le no i.e : sous l’i-vo(i)r’, ass le D-v(o)r’ ill(e) le va & « viens, viens !» vian-de-ciell’ l’englou-ti-tub’ a, val(S)’sur le cô-T-te, le se(i)n’, son l(a)it à L, D-gou(l)ine-r-tie d’, comm’ l’(e)au b’uti-née au gou-lo(t)-uéden, op-en j(e)u’, p(o)ulP’ en f (r)/u it’, sur la baR-bou’ (on g)R/ill’ les mains ma, t(e)rN, L’, sur le sol comm’ 1 chif-fon(d) le li-no t-ruc(h)’ pl (se)N/oie sou’ l’a, Pt-î(t)-ll’, bo u/i t le d-(h)ar-d-ur, qui , l’éclat(e) bru n/s-Q’ des 2 r(iv)es pi-rat° de god’, la merde-use l(e tr)onc t(ue)u’ b-l’a(i)ss’ béa(n)t,vol’amèr(ai)d’, encul-but’ch e/a r cu l/t’ de la mér-d-’ress’, rem recli, n(e L)’M qu’à(u) point de ru-p(t)ur g’ le ciel de sa br-’u-m’-id’i-fie nt’, l’asti-Q-v’or, as(s) tr’ oué, ds son n(oya)u ag’ de lait sur le fruit.frais fraise frêle frôle, la garce brasse la grace de l’astre crasseux crache, bave, sur le sabre puis le plante lentement monte et descend .la pente arpente.l’arpent de ciel brun brave la baie baille s’ouvre mollement mousse
étend son havre de pet.pétri se pâme entame le pieux pioche l’azur à coups de reins.rince noie la corne pince se rétracte traque le salaire du troc croque à pleines fesses.griffe mord, tandis que la mère greffe, un ciel dans le souffre, syphone, le.cul de la conne, détrône, le pu bénit braise baise trempée de son puits puise, le sérum à sa.source sou(r)d’, O c-ps’ par cps, ciel-&(n)-terr’, sous son v-entr’ouvr’ 1 brèchaude, b(r)-a(i)S-N le cps de gr-arc’ ten-du-dos(e) de (c)am’ B-rai-e-s (la)-p’-i(o)nn’ de K-out(/in)-(s)ho(u)t, la goss’ s(o)u-P-l’ie sa f-oss’ill’, cr i.e : sa re-(con)n’-Senc’ em-br’-as(s)’, à son to(u)r ch’, de sa langu’, le cul, mater(n)-, ell’, la mèr’, saisit le f(ou)et’i-d ôl’ f(r)ôll’, fou-ill’ cal-l’-fonduconduit la
tig’ jus-Q, o-cul-t’ la pi(tiédit)-d’(é)-jà-pp’, «la chienn’ mèr’ it’ le fou(e)t!»-r’, du c(u)ir’, pourprune, envel’op, pen, (in)T’r(e)uz’, fla-g-ell’’u(r)L’ a-val’id’ la sen-te(n)S-on-D-co(u)s’u, la gaminett’, en veut Os(s)-i-ll’ trem bl/P’, les la ni/S R’ bru n/l’son con-s/f ume, bru(m)’tal is-man’ i-pul(ul)e comm’ une bi(t’)-C/s’aFal’ la gossèvent(r)e, s’a(r)que(ux)-b(r)out’, la chatt’ à ma-ma(n) l’aX’, to-r(i)d’ Ô-crèvid’, la p(r)oi’sse-use, la-p’-ress’, comm’, 1 fr(u)it, mu(r)zelèch’, eng-l’outit m(o)it’, entr’ ses jamb’, l’autremp’, la gueul’ & f(ou)eT i-dôl’l of wa-ter rin’ d’à-(n)g’enou-X, en na g/P’ de m(i)el’ang, à(u) feu & à(u) sa(n)g of knot le cuir cuit sur son con/cul conquis tisse d’autres plaies lèvres lan’y èrent, D/E g(u)iz’ les cr(e)u-X en tombeau-X de lan-g(u)es’t’ b(r)us-Cul-T’ dans la fol-lie la mom’-i-f(i)ée li(n)e au pied du li(t)-g-(h)ot’ fle, sh ack lcri ble(u) de cps, le ciel cingl’iss’, du cul au co M bles-su r’/t ur’, la coud de coups claquent calquent, le bleu sur son cul .blessent tressent, un autre nid lit à langue allanguie râle râpe.lâpe, le cul de la pute butine le butin teint de boue de 1000 coups de burins.pince les seins souples supplie se plie déplie, encore sa tache chaud tas de.chaux glisse entre l’air et la cuisse se terre, aux creux de son cul lisse, sous les coups de lanières.glisse tisse, un lopin d’éther, la salope pisse dans la gueule de sa mère.la mamang’ b/n oie sa fa(i)m-in’ le gouf-f-ra(c)tur’ le v(i)-oil, blood, uri-n (o)ient l’opa Q, veT’it sa l’ang’lue de (la)mèr’, de, tremP’âleur i/e mb e/ou(e) r, B’, le cuir ds le c(u)-l o u/v’, dans sa, bo(ue)-rdur’ se dé-chi r/e, la goss’, le ciel ent(i)èr(r)’, dé-t(r)onne, le rectuméfiénterr’, bouch’ & fou(et)-ll’, le jar-d-in tub’, le cul sup-pl(i)ant’, cuir & bave ds sa terr’in’ gr, as(s)’per g/ch’ le cri(m’), 1 peu + h-a(u)T’iz’ la cru(e) de l-av’a(la)nc(h)’ é-p(a)isse, sang et, mou(i)lle l’î-con’ à pré-s’e(n)T, ire, la-gun’ ou « flingue », sur la t(r)emp’, à ma-ma(n)-oir, s on/a ma-t
-(r)iS’, b/p ru(i)n’ow, le chemin-é, de la bouchatt’, qui se p-e-r(ô)d’, entr’ les alvéolienn’, son as-s’ ôM’, de s’ou-v(r)ir’ au, v(i)olet pourpr’ de son ni(d)-v’, ell’, les cimes
foule, la face cachée chasse le bleu du ciel, sa cellule.souple supplie plaide coupable palpe la plaie polit du bourraux s’empar’, de la barr’-B-ou-ill/R’, le cul m, aTe(rn-e)ll’, la merd’ et di(eu)-s, perS’, l’or dur, le v(r)ai-s-s(ea)u tur’ l’S-paS’, entr’ a ss(/ct’) et con, d-a(m/n), br(up)/t ass’, la frangé-liQ’ her mu, D-l’av’ al’ du pieu(.X)-D/V r’ ou-(i)ll’ sur l’a r i/O d’, comm’ 1 châ(ca)le conchié de mèr-d’-é-coud-e- caout-shout, la ga-mine-tt’ de ma-man-G’-mi’(z’), jus-, Q(’ au) fond, la, ch’(iN’), son jus pois-, se(u)x’-ion-né-i-G’-lat(r)in’mar’-on-ctueuse, vase vorace brasse la garce gamine.mâche, la chiasse poisse, avec délice lacère le lard parfumé de sa mère. fouette, maintenant le four tandis qu’elle enfourne.fouille la fente femelle, pousse le baton jusqu’au bout fond frotte la râte.gratte, à la frontière de l’âme, fracture enflamme jusqu’au front l’enfourche.frôle, les sursauts de sa glotte, l’autre glisse goûte gobe les gouttes d’aube.salées se saôule dévore, à pleins crocs la houle mord, tord, l’oeil.soyeux saillant baille, habille les papilles de boue s(u)av’ her ’’, chil-dis(h) perS, D-ch(a)ir’ l e/a ri-d’O cil, l’enfiaent, jou(i)t’, acid’u-lait, sur la langliss’, jus-Q, « au cul », bouchiée de part-out, mum mun-ch(ienn’), ron-G’-l’av’a-l’ or-ga(s)me, gold-en vi

 


 

 

<<