plis
au froid
les mois
peaux de bête raclés la nuit aux corps tombent à
goutte donc chantent, les mariés dignes, époussetés :
crevasses dormir, roue louche, dormir
cramique
doré l’offrande la houle céleste retient sa lie,
urine ciel boulon goulu tiède, les toques de creux limons, fenouil
gras plis rouges les huîtres, molles les étrusques fous,
les péninsules ibères les – plis rouges plis rouges
j’ai
froid – l’hiver lèche les sens
moule,
juteuse fesse les seins, marmaille coupée entre et dents creuses,
tac tac les ossements bêlent l’un l’autre tout de
cargo lampe
tout de
cargo lampe la bise semelle ronfle aux crépis cordes aux orties
faites, terre miches de sang enflent, goulues cordes ronces, la fronde
la fronde
déballe âcre la jetée perd ses flores ses engins
ses semailles grains lugubres la jetée – des rangs des
câbles des outres ouates foulées carpes pâles je
trébuche frémis à l’accueil, alcool glauque
à la crispation Vésuve du dessus, nichées gauches
perchées sentir, rouler l’eau de pègres de rangs
secs hêtres alignés, l’intérieur est chez
nous est ample, vois-tu, ample – avec les dents du rire
tics goulus
raffolent de la crache-bière pus liquide ; les asticots
doubles chaussettes se mules pondent aux riz pile coupent fil disent,
n’y trichent coupent la débloque-onde porcs ruts porcs
ruts
j’ai
je j’ai f j’ai froid j’ai faim nous avons froid
hêtres
alignés, mollusques nos jambes bras s’avoisinent aux flammes,
floches liquéfiées bêlent de tentes, les requins
en nage aux flots de vent – un feu en forêt n’avions
plus, depuis ce midi plus raffolé tant que ça d’une
poussée outre, plus diphtongue cloîtré nos coulisses
veules depuis
l’hiver
l lèche les sens l’hiver l l lèche les s sens j
et parqués
entre deux vagues de terre et corps à braise l’odeur-fumée
revient aux vêtements nous : capture riche des temps nouveaux
une cascade de rythmes nous coule aux flancs
louches
de fraîches herbes mortes servies aux entrailles poitrines aux
têtons rosses : la misère loutre vautrée la
carpe nue le fol octroi de confits tièdes
allez, tous en coeur on y va staccatos terribles on y va, j’ai je j’ai f j’ai froid j’ai faim or l l’hiver lèche les sens allez : moule
juteuse fesse les seins creux limons fenouil gras cramique doré
l’offrande la houle céleste urine ciel retient sa pli-rouge-pli-rouge
lie ciel boulon goulu tiède les toques de plis limons gras fenouil
plis gras plis les huîtres rosses étrusques péninsules
ibères les hp seins sieste seins sieste fesse juteuse toute de
cargo lampe les seins marmaille coupée entre et dents creuses
tac tac les ossements hq bêlent l’un l’une l’autre
tout de bise semelle hq ronfle aux rq crépis d cordes r aux r
h orties s faites la jetée de terre riches de sang enfle de sang
fronde déballer âcre lp goulues cordes ronces la fruitée
l fronde qui s perd ses flores lui l ses engins ses semailles pleins
des câbles des outres ouates foulées l carpes pâles
je sq o pr trébuche frémis là à l’alcool
alcool blanc a glauque rq h a l crispation Vésuve du dessus d’elle
hp nichée gauche droite leste hp perchée plus se sentir
h fl rouler l eau arq pègres nous des rangs secs des rangs hêtres
alignés l’intérieur avec nez est chez nous est ample
vois-tu ample st avec les oui dents du rire
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