bonjour
tu dis et épies pries tu n’épies ne pries pas tu
baisses
les vêtements du bas remonte ceux du haut et fesses là
par terre bonjour tu dis viens j’ai comme qui dirait l’insecte
j’ai comme qui dirait l’insecte
à la crépite et c’est ce qui glapît
et glapît rêche les déchire nuées gourdes
les gallons de mes froids
saoule moi l’insecte barbe au boeuf
effort les étrons se suc-
cèdent bravement bas-ventre sarclé os hier les petites
souris
la peau grise vivote des petites souris les
ardoises se terrent à
la merci de mes arcs farfouilles jument oui bandit livré à
se barbouiller à ta mare je barbouille à ta mare les
e h e rq incidences de quartier les congruences molles des tue-
taupes l’accalmie après le vice la touille-forêt
haute fleuve forêt tronc
Amblytèle Armatore visite souvent les
ombellifères en fleurs
les larves parasitent les chenilles de divers grands lépidoptères
touillés deux hymènoptères
sont accueillis sarclés boisés la larve-
hôte est détectée par la femelle dans un tronc d’arbre
à
travers le bois qu’elle fore ensuite de sa longue tarière
ef
filée pour déposer un oeuf dans chaque larve abdomen pointé
bonjour est déculotter dire bonjour
est déculotter l’effacement tu dis
bonjour les fesses par terre l’entente est habile les yeux ont
des
souffles gonds aux arrières-gourdes d’eux-mêmes glissées
souris
je marche de ma bouche aux armatures éclipsées
visibles de toi
là tu dis rupestre bonjour et déculotte pour ce faire
à Rhyssa
Persuasoria à clapotis humectées serviles creusets souples
souples
comme de cuisses larves siricidés dans un tronc d’arbre
pointé
l’ovipositeur s’enfonce verticalement
dans le bois l’abdomen reste
pointé vers le haut Nord Rhyssa Persuasoria qui est un grand
Ichneumon qui est livré à la merci de mes tes farfouilles
jument
je t’épuise tu marches par la
bouche sablée de mettre hanches en
couple de diverses larves larves-hôtes attirées par la
lumière
et les larves Noctuelles Sphingidées parasitent les chenilles
fleurs
répugnent divers lépidoptères tu ne vois le paléarctique
que pointé vers
le haut abdomen pointé vers le haut les étapes fraudes
humides
de ta pisse à étapes nouvelles
à étapes venues haletées et glapissent
et se plissent et se lèvent les boeufs les boulons de ta gourde
de
ton pli de ton sou glapît et se taire à se rompre et servile
franchement tenu franchi touillé à la fois à la
longue et des mains
des amblytèles se lèvent souvent
elles soulevées douces subissent r
sf rugueuses les tactiles les chenilles tout le long de ton sou de ton
tronc de t ses lèvres et habiles aux chemins les chenilles souffrent
pour toi et l’épaule de la veille se pénètre
l’abdomen toujours
dirigé vers le haut je dérape suis à corps effilé
sec pour toi
accru abdomen comprimé latéralement
j’ai des grandes
ressemblances avec d’autres espèces rousses d’Europe
corps effilé
Ophion jaune à corps effilé
l’on peut me voir le soir contre les
fenêtres éclairées je siffle à ton puits
éclairé parasite les chenilles
les chenilles et larves-hôtes grandes ressemblances entre nous
nous fraîches Zélandes introduits
de force ici à la dureté du bois
nos abdomens sont comprimés latéralement ce qui me fait
pluie me parasiter tes chenilles me parasiter la cuisse libre
triste dictée des chenilles lustres de fluides aux chenilles
je foule
glapis neige aux chenilles barque j’avale
tout ce qui cercle bat
à
tes mers soupes chaudes je barbouille la marbrure écrase de
m l’étoupe aveugle et caille lustrée de pa hrq pluie
veule de pluie
creuse ma creuse ta barque je me répète je r barbouille
mon menton