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Qui la lumière cherche

A la fin s'éblouit.L

Lors je te tends la main, la

V ase m'engloutit.

P plutôt que dans l'

Etang, sombre dans le puits.

G lisse dans sa

C olonne,

N e remonte chez lui. Ccherch-z-

Ymon prénom et celui de ma

M ère, celle qui naît sous

X ,et celui obscur, de ton père, qui tassa de ses mains, mille ans, le sable humide des

Z iggurats. Qui dit main dit

I ad et justice et puissance, la main gauche de

D ieu. Au contraire du

B ouddha, gardons nos poings

F ermés afin que ne s'échappe le

K a de nos puissants

J umeaux car, issus du

T aureau enturbanné de gris, n'en sont pas moins des

H ommes, plongeons encore ma soeur

I nssistons plus avant, et couvrons-nous d'

O nguents mon

Utérine amie. Au tréfonds de la mére en

R unes est écrit le message

S ecret que je te donne ici:

 

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